Description :
Imaginez. Un homme vous sauve la vie, en échange de votre engagement de faire tout ce qu’il vous demande… pour votre bien. Le dos au mur, vous acceptez et vous vous retrouvez embarqué dans une incroyable situation où tout semble vous échapper. Vous n’êtes plus le maître de votre vie et pourtant… à bien des égards, elle est plus excitante qu’auparavant ! Mais peu à peu, le doute s’installe en vous : quelles sont les intentions réelles de cet homme qui s’est immiscé dans votre existence ? Qui est-il vraiment ? Et qui sont ces personnages énigmatiques dans son entourage ? Les découvertes que vous faites n’ont rien pour vous rassurer.
Ressenti :
Sur la lancée du premier roman de Laurent Gounelle, L’Homme qui voulait être heureux, j’ai décidé d’acheter celui-ci. Vraiment enthousiasmé par le message de l’auteur, j’avais envie d’en savoir plus, de voir quel était la suite de ce message.
Dans ce nouveau roman, on suit la vie « banale » d’un jeune franco-américain à qui la vie n’a pas fait de cadeau dans sa jeunesse. Au moment où il décide d’en finir, il est arrêté dans son élan par cet homme qui lui promet de le rendre en mesure d’être maître de sa vie. Notre « héros », encore une fois personnifié par un « je », se retrouve donc obligé par « contrat » d’obéir à toutes les injonctions de son « sauveur ». Peu à peu, il sera confronté à toutes les barrières qui l’empêchent de vivre sa vie, barrières souvent dressées par lui-même. Le message essentiel du livre, selon moi, pourrait se résumer à cette phrase de Gandhi qui revient souvent dans le roman : « Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde ». En décryptant un peu, si tu veux changer le monde, commence par te changer toi-même.
Comme je l’ai dit précédemment, j’avais vraiment été emballé par le message du premier roman de Laurent Gounelle, et je voulais une suite. J’avoue que de ce point de vue, j’ai été un peu déçu du second roman. En effet, rapidement, j’ai trouvé que l’auteur revenait sur le même thème que son premier livre. Evidemment, il creuse un peu plus certains aspects, mais globalement, il parle encore des barrières que nous nous dressons nous-mêmes et qui nous empêchent de vivre. Du coup, pas vraiment de nouveauté. Ensuite, pour terminer la partie négative de ma critique, le sceptique en moi a trouvé la fin « un peu exagérée quand même ». Ce sceptique accepte de prêter un pouvoir à la volonté, mais ne pense pas possible de changer aussi radicalement la vie des gens.
Mais après tout, les seules limites ne sont-elles pas celles que l’on dresse soi-même ?
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Catégorie « Développement personnel »
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